MARS 2015
REVENIR AU DEBUT DE CETTE CATEGORIE
dimanche 13 novembre 2016
Par Marc Lesnay le dimanche 13 novembre 2016, 01:25
Par Marc Lesnay le dimanche 13 novembre 2016, 00:59
REVENIR AU DEBUT DE CETTE RUBRIQUE
vendredi 4 novembre 2016
Par Marc Lesnay le vendredi 4 novembre 2016, 15:37
mardi 8 septembre 2015
Par Marc Lesnay le mardi 8 septembre 2015, 13:29
TOURS, INDRE ET LOIRE, GRANDE BRADERIE ANNUELLE 2015 - LA FONDATION Y EST PRESENTE AVEC UN GRAND ESPACE ARTISTIQUE EXPOSITION LE DIMANCHE 6 SEPTEMBRE 2015 SUR LA PLACE DE LA GARE.
"L'art est public" Pierre Prévost(extrait) Point de vue | LEMONDE.FR | 31.10.11
L'art ne fonctionne pas à sens unique, du créateur au spectateur, de l'artiste aux populations. La culture, par définition, est échange, émanant de chacun de ceux qu'elle réunit, sensible à leurs évolutions et à leurs conditions de vie. Le cloisonnement des disciplines, des publics, des pratiques est facteur d'atomisation et d'une diminution progressive de la sensation d'un destin commun sans quoi il n'est pas de démocratie réelle. Dès lors, les fonctions de l'Art et de l'artiste, en tant que passeurs de sens, d'humeurs et d'émotions, doivent être d'urgence réinterrogées et réactualisées. Il est temps non pas dé réunir mais de faire se croiser nos concitoyens, au-delà du public averti, au-delà des établissements qui lui sont consacrés. L'art est lien. A la fois intime et collectif, il œuvre à la structuration de nos sociétés en même temps qu'à la construction de chacun d'entre nous dans sa dignité d'homme et de femme. La multiplicité des accès tout comme la disparité des contenus sont indispensables. A ceux qui se proposent d'investir dans la culture et l'art, nous disons : bon calcul. Parce que ce qui nous charpente, en tant que société, voire nation, est fondamentalement culturel. Parce que nous sommes essentiellement ça : une pensée en mouvement, un bal de sentiments. Parce que, concernant la France, ce n'est pas l'académisme de son art qui fait société ici et ailleurs mais tous ceux qui franchissent la ligne, les inclassables, les hors-castes. Nous, artistes-créateurs, ne demandons pas le confort ni la prébende ni même la reconnaissance officielle, juste de pouvoir agir. Nous avons une fonction publique et pour autant il n'est pas question d'en faire partie. Ce qu'apporte l'artiste à ses concitoyens c'est d'abord et avant tout sa liberté de penser, de risquer, d'inventer. Mais son contrat moral, dès lors qu'il reçoit l'attention et le soutien de la société, est qu'il soit aussi en lien, au confluent des hommes et des territoires, tant par sa façon de créer, par ce qu'il dit ou fait, que par sa façon de se diffuser. L'art pour l'art est caduc. L'art d'état également. L'art est public, tout simplement. L'art est un enjeu de société. Une société fragile, dont les mutations mal vécues ne sont compensées en rien par un surcroît d'inventions, de solidarité et de responsabilisation, mais, au contraire, ne semblent offrir pour issues que des impasses sécuritaires et des nostalgies rances. De cette société, nous, artistes, sommes parfois le ciment ponctuel. Il est urgent qu'une politique culturelle réinventée donne à chacun d'entre nous, citoyens, la possibilité de nous construire durablement.
UN IMMENSE STAND DE 20 M DE LONGUEUR devant la Gare, pour cette première participation à la Braderie de Septembre à Tours
Quatre artistes représentés, Marc Lesnay, Ann Kristy, Nadia Jouaou , Harrybert et un service d'animations mexicaines pour professionnels et particuliers.
On donne le ton :
"Je est un autre" (Arthur Rimbaud) Quarante cinq ans avant Freud qui déclare "Le Moi n'est pas maître de sa propre demeure". On est là en présence de deux grands visionnaires occidentaux qui avaient compris eux aussi que "Le Moi n'a rien à voir avec Soi" Le contenant n'est pas le contenu. Le "Moi "n'est pas la bête que je suis" C'est là tout le symbole de la compréhension du vivre au dedans ou au dehors du Paradis. "La bête croque "La Pomme" et prend le commandement du binôme, "Moi" n'en a pas besoin" Dualité de la chair et de l'esprit que Descartes a pris pour un tout. Que de bêtises et de temps passé pour se rendre à l'évidence que "Le fait de penser n'est pas le fait "d'Être". "Nous ne sommes pas ce que nous voyons de Nous" "NOUS NE SOMMES PAS NOUS" "QUE CEUX QUI ONT COMPRIS SE RASSEMBLENT !!!
Association loi 1901 (www.cledart.com)
11, ALLÉE DES PEUPLIERS - 37800 - MAILLÉ (contact@cledart.com)
L'ART L'OBJET N'EST PAS LE BUT MAIS LE SEUL SUPPORT DE L'IDÉE OU DE L'HISTOIRE RACONTÉE COMME THÉRAPIE
"Le Temps du Paradis" n°1" du Diptyque.
La communion se fait dans l'abstrait. C'est de cela dont je veux vous parler avec ces tableaux ou ces céramiques qu'il ne faut jamais regarder, mais au contraire ignorer. C'est l'Esprit, l'Essence, l'Ame des oeuvres qu'il vous faut rechercher dans les formes, les textures et les couleurs, et alors, si vous savez fusionner avec elles, elles vous raconteront ma vie dans la Vie." Ann Kristy
Le "coin" d'ANN KRISTY
Le "coin" d'ANN KRISTY
Oeuvres de Marc Lesnay qui présente Nadia Jouaou, et Harrybert
Les oeuvres de Marc Lesnay présentées sont partie intégrante de son exposition : Le Péché Originel
voir le catalogue complet de l'exposition en PDF
(Toutes les oeuvres ici présentées y sont expliquées... )
" La Colère de Dieu"
L'espace jaillit de la toile pour se confondre avec l'esprit du spectateur. La force de la matière en relief et des couleurs vous sautent "à la gueule" comme une gifle !!! C'est une communion ! Langage de l'âme qui se fond dans l'Âme de l'Univers ... Le mouvement des cercles, telle une tornade qui donne la vie, est généré par Dieu fait "humain". Comme un super héros fantastique "IL" explose la toile en provenance du cœur même de l'univers pour "ameuter", en colère contre les hommes, la Terre entière...
"Marre de Vous, marre de votre bêtise immonde !!! Il crie et peu d'humains l'entendent, aveuglés par les ténèbres de la déraison ... Dieu est en colère !!! Tenez-vous bien... Il arrive !
LA DESESPERANCE DE LA FEMME BLANCHE
En cette année 2007, avec le prétexte du danger planétaire généré par le développement industriel sans garde-fou, on était en droit de se demander ce qui, malgré tout, poussait l’homme moderne à continuer, et la dégradation de notre planète, et sa propre destruction. Ceci au nom du pouvoir et du matérialisme, alors que tous les témoins étaient au rouge et que l’on allait à grands pas vers une catastrophe humanitaire et écologique… L’Afrique nous a disséminés il y a 500 000 ans sur tous les continents pour former les races humaines. Les civilisations modernes ne se sont pourtant vraiment développées qu’en l’espace de 5000 ans… alors qu'entre Chauvet et Lascaux 15 000 ans s'écoulaient sans grand changement notoire. Puis, en 250 ans nous avons fait évoluer nos connaissances physiques plus qu’en ces 5000 dernières années… En 2012, mêmes maux, même refrain, nos réserves naturelles sont exploitées au-delà de la raison… et rien ne nous arrête… Nous allons à grands pas vers une troisième guerre mondiale. Alors, devant la beauté de L’Afrique restée, elle, en attente et plus en marge de ce développement, la femme blanche, celle de la race du démon, pleure devant tant d’incompétence masculine occidentale, mode de vie occidental qui est en train de devenir le modèle de toutes les civilisations humaines du XXIème siècle… L’Asie s’y est mise… C’est parti : pollutions, maladies, drames humains envahissent les toutes nouvelles zones urbaines industrialisées à outrance et contaminent les campagnes… La "femme blanche", avec son accès à la conscience généralisée par l’enseignement plus "démocratique" du monde occidental, mère de millions d’enfants innocents, femme de millions d’hommes infantiles et dangereux, imbus de pouvoir et de besoins matériels, machistes et machos vivant dans une misère intellectuelle incommensurable, comme de véritables mammifères qu’ils sont, la "femme blanche", Elle, maternelle et dévouée, n’en peut plus de «désespérance». Elle n’arrive pas à imposer à l’homme sa vision d’un monde moins guerrier, plus doux et humain… Elle pleure pour ses enfants, qui vont mourir, avant l’âge, des traumatismes infligés à notre planète … des actions démoniaques d'une petite poignée d'homo sapiens imbus de pouvoirs des plus inutiles ... Cette Mise en Art nous raconte Son histoire. L'œuvre incorpore le Cosmos avec les modules «SPACIALISTES» d’Inès Blumencweg, installés en mobile. Ils dominent l’œuvre comme l’espace nous domine et nous apporte la vie. Les couleurs d’origine des modules d'Inès, sont remplacées par les cinq couleurs des hommes : noire blanc rouge jaune brun.
En haut de la colonne verticale taillée comme le reste dans du chêne naturel, se dresse, orgueilleuse de perfection, une admirable coupe KUBA. Comme toutes les autres pièces de l’œuvre, elle est la démonstration esthétique du savoir naturel et respectueux de nos ancêtres africains immuables et instinctivement savants des choses fondamentales de la vie. Une petite statue LEGA, installée à mi-hauteur, nous rappelle qu’en Afrique on sait encore être autre chose qu’un simple mammifère, et que tout en restant respectueux de la nature, on la bichonne et la fête par l’offrande de sa propre créativité. Il en est de même avec cette rare statue «manchot» LOBI. Le peigne BAOULE, est une véritable œuvre d’art. La sculpture de la femme blanche est l’œuvre de Catherine GUERRIER-DEBERNARD. Deux petits modules verts et ocre jaune, inspirés des Œuvres de Blumencweg, viennent compléter, représentant la nature, les sculptures sur chêne. La technique est inspirée du concept de « SUBLIMALISME », qui consiste à utiliser les moments au hasard, pour accoucher d’œuvres instinctives, qui se forment et naissent au gré des sensations de l’artiste…"sublimant" ainsi le moment présent qui devient alors éternité… Pour ce faire, j'utilise les fentes naturelles du chêne. Je crée les formes et les contrastes de lumière par le polissage des cavités. Je les rehausse au moyen de disques abrasifs différents, qui servent de crayons, de spatules ou de pinceaux. Les différentes œuvres ensemble, venant de contextes si différents, sont ainsi «mises en art» pour sortir de l’ombre, former une histoire et rappeler aux hommes que l’Art est le langage universel qui fait la différence entre lui et le simple animal. Pleurez Madame, pleurez que vos enfants sont en danger. Pleurez sans fin ou alors relevez-vous et Prenez le pouvoir. Sinon, "pauvres de vos enfants ... si innocents" !!!
"Le Coq"
Rola bola en porcelaine, notre coq gaulois, Nous, en somme, est en bien mauvaise posture ? Jusqu'à quand tiendra -t'il ?
Qui sommes-nous ? Où sommes-nous ? Un homme (profil symbolique en ligne jaune) contemple l'univers infini. Inquiétude, peur ou acceptation de sa condition ? Chacun répond à sa manière ! La découverte des "secrets" de la Vie passe par cette interrogation. Au Paradis, tout était connu. La pomme, attirante, croquée à pleines dents a fait disparaitre la Connaissance de l'Origine. Nous sommes dans l'obscurité et aucun télescope, même hyper géant ne nous dira jamais où nous sommes, qui nous sommes ! Seul un retour vers une paix intérieure, peut permettre à l'Homme de revenir vers son Origine. Il est urgent de raccrocher "La Pomme" à son pommier et de détourner le regard du "Fruit Défendu"... N'est-on pas fatigués du temps des souffrances inutiles, de bonheurs perdus, de non vie ? A chacun de répondre en son âme et conscience et de sortir du stade de l'autruche pour prendre sa destinée en main !!!
Détails de " La Désespérance de la Femme Blanche "
Ann Kristy en pleine explication des oeuvres exposées...
La sortie du Paradis. Le cheval n'est plus du tout paisible. Sur le qui vive constant il ne vit que stressé !!! pas de couleurs. Le bois brut. la pomme est croquée !!!
"Le Paradis" Le cheval est paisible. pas de danger ....
Le paradis, symbolisé, est dressé sur le haut d'une colonne d'un blanc immaculé de pureté qui, elle-même, dans sa deuxième phase de 2011, non programmée au départ, représente la lumière terrestre et en bleu le disque de la planète Terre reliée au Paradis de l'Origine par l'eau qui coule (ligne bleue verticale). Dans cette ambiance de calme et de paix, le cheval, à la source de la rivière de vie, broute une herbe fraiche dans une sécurité tranquille qui le rassure et le détend. C'était " la Bonne Heure" (bonheur) des origines que nous avons perdues en "croquant la pomme" de l'arbre de la vie matérialiste, qui ici est le sommet de l'œuvre et le summum de l'entendement de notre
"condition humaine" !!
Marc Lesnay, Nadia Jouaou, Harrybert
Marc Lesnay attentif au moindre détail !!!
mercredi 2 novembre 2011
Par Marc Lesnay le mercredi 2 novembre 2011, 23:43
Les "Mise en Art" de MARC LESNAY EXPOSITION "LE PARADIS TERRESTRE" : L’ŒUVRE "LE PÉCHÉ ORIGINEL"
Pour voir le texte original complet sur l’œuvre : "Le Paradis Terrestre" cliquer sur cette phrase.
Série « Le Péché Originel »
Marc Lesnay 2006/2011
"Le Paradis Terrestre"
"LES Mise en Art" de MARC LESNAY
« L’ART EST CE QUI REND LA VIE PLUS BELLE QUE LA VIE » Autrefois, rois et mécènes sollicitaient les artistes et l’art accompagnait la vie. A la Renaissance, François 1er fit venir en France quelques-uns des plus grands artistes, de Venise, de Florence, de toute l’Italie, pour que l’art s’inscrive dans la cité, dans le quotidien de nos existences.
Réservée aux élites, la compréhension de l’Art reste, pour longtemps, peu accessible à l’homme moyen. L’avènement du XIXème siècle et de sa révolution artistique, en parallèle avec l’évolution industrielle et scientifique, nous a apporté, avec surtout aujourd’hui l’outil Internet, la possibilité d’accéder à toutes les connaissances. Dès lors, le développement de la machine, et donc, la réduction graduelle du temps de travail, nous permettent d’imaginer des activités professionnelles tournées de plus en plus vers la création artistique et de loisir.
Dans ce mouvement ancré résolument dans la modernité et anticipant un futur qui devient chaque jour l’actualité, TAP ASSURANCES de et avec Laurent Bonnet font un pas de plus vers sa clientèle et le public en général, afin de vous entraîner dans le plaisir du langage de l'Âme et de l’expression artistique. D’où l'acquisition de cette œuvre par Laurent Bonnet, devenu avec le temps collectionneur et son exposition dans ses locaux de TAP ASSURANCES devenus ainsi également un pôle d’art dépouillé de toute sophistication, afin de vous donner l’envie d’aller plus loin dans cette compréhension.
Avec ce concept, au cours des années à venir, venez chercher ici, peu à peu, quelques clés de ces chemins de l'Art, tellement riches en plaisirs intérieurs. Vous plongerez dans l’intimité de l’œuvre présentée par Marc Lesnay, metteur en Art, artiste créateur contemporain, et conteur de La Vie Vraie. Il vous entraîne ainsi dans la compréhension sublimée du monde et de l'Univers.
LE SUBLIMALISME par et selon Marc Lesnay
C'est l'Art d'ordonner mentalement les composantes du réel pour les réordonner en Soi, créer un nouvel ordre des choses, pour en jouir intensément dans la contemplation mentale de ce nouvel ordre retrouvé. Il ne s'agit pas de présenter le réel, mais surtout son processus afin d'en démontrer les limites et le transcender. L'ordre dans le désordre est la définition de la vie ... "Sublimer chaque chose, créer en la désintégrant et en la reconstituant dans un autre ordre". Il est nécessaire de sortir de l'image miroir d'une non-réalité pour retrouver dans le désordre l'Essence même de notre Origine...
L’ART ABSTRAIT Par Marc Lesnay
Peut-on parler réellement d’abstraction, si on accepte le fait que l’existence ne soit pas qu’apparence extérieure, mais aussi « ressentis » intérieurs intenses ? La vie incombe la fusion de l’âme et de la matière pour engendrer des sensations des plus improbables. Les surprises de la vie créent alors, entre autres sensations, le bonheur. Le hasard donne un ordre aux choses et le mouvement devient le Merveilleux…
Notre vie, souvent trop matérialiste, ne nous permet que rarement de nous évader au sein même de notre conscience. Ne devrions-nous pas laisser plus souvent notre esprit vagabonder ? Ne pourrions-nous pas nous détacher de temps en temps du contour des choses ? Pourquoi toujours chercher à matérialiser ses impressions ?
L’art abstrait nous permet de répondre à ces questions. Il est le trait d’union entre notre conscience et la compréhension de nos sensations. C’est le langage de l’âme. Il est inconcevable de ne pas s’imbiber d’intenses impressions devant un tableau de maître classique. L’art classique nous entraîne vers l’appréhension des sentiments terrestres, parce qu’il nous raconte une histoire humaine qui nous touche. L’art abstrait veut au contraire nous détacher de ce lien extérieur avec le ressenti humain. L’art abstrait nous fait plonger au cœur même de l’âme qui nous habite. Il nous permet de ne pas rester attachés qu'au contour ou à la couleur des choses. Il nous permet la découverte de notre véritable « soi-même », de notre essence, nous ouvrant la porte de notre « moi ».
Devant une œuvre d’art abstrait, la notion de temps ne doit plus exister. Prendre son temps, laisser son esprit vagabonder au sein de l’œuvre, ne pas essayer de matérialiser ses impressions ou de rechercher des représentations aux formes visitées par l’œil. Il faut se déconnecter du réel, essayer de ressentir, de se détacher, de se libérer et puis … s’envoler au sein de l’œuvre ! Elle vous invite à rejoindre l’artiste dans son « moment présent » qui lui a suggéré la forme, la couleur et le mouvement du trait imprimé pour l’éternité sur son support. Peu importe que ce soit du dessin, de la peinture, de la sculpture, de la céramique, de la musique, de l’architecture ou une installation. L’acte fondateur de l’impression du moment qui se fige pour l’éternité est la seule raison d’être de l’œuvre qui vous parle, vous parlera et vous survivra.
Il faut donc se mettre en phase avec l’œuvre qui n’est que le trait d’union entre vous et l’âme de l’artiste… et alors ressentirez-vous peut-être ce bonheur, cette souffrance, cette question ou affirmation, ce moment de vie intense que vous offre comme un cadeau éternel, l’artiste devenu, pour vous seul à ce moment, votre unique interlocuteur…
L’art abstrait est un moyen de communication fondamental, qui permet ainsi à l’homme de se perpétuer et d’assurer la transmission de sa connaissance intime au cours de l’évolution de l’humanité. Il touche à la trame de l’âme, à la compréhension du temps, à la construction de l’avenir… Il est, au contraire de l’art figuratif classique et moderne, mémoire fondamentale du temps passé, la vision du futur éternel puisque créé sur des impressions immuables qui ont existé, qui existent et existeront toujours pour l’éternité du temps humain…
L’art abstrait, qui reflète le plus profond de l’âme, est sans aucun doute la clé de la compréhension de la vie…
C’est pour cette raison qu’il est si difficile d’y avoir accès, de supprimer les censures personnelles à son encontre, de le laisser pénétrer notre intimité. Les plus grands maîtres de l’art abstrait ont, pour la plupart, tous suivi auparavant un parcours classique, et ce n’est souvent qu’après avoir épuisé les sensations de la représentation du concret qu’ils ont voulu et pu accéder, tout naturellement, au cours de leurs découvertes des secrets de la vie, à ce langage si pur et si profond.
D’où cette œuvre, "Le Paradis Terrestre", arrivée par les hasards de ma conscience entre mes mains, qui vous permettra, je l’espère, de ressentir ce bonheur d’effleurer pour quelques instant les prémices des secrets de la vie…
« Le Paradis Terrestre » l'exposition du "CENTE VILLE" BANQUE TARNEAUD TOURS (Indre et Loire) Avril - Juin 2007
XXème siècle : La philosophie est Morte ! XXIème siècle : Vive l’art contemporain !
La philosophie du XXème siècle s’interroge et doute de sa raison d’être. Les catastrophes de ce siècle n’ont pas seulement atteint la philosophie dans leur propre vie, mais elles ont aussi et surtout ébranlé durablement la foi dans le pouvoir affectif de la raison. Dès lors, la philosophie n’ose plus tenter une réconciliation susceptible de dépasser la division qui se produit au niveau de la pensée. Elle propage plutôt, à travers les nombreuses voix de ses représentants, sa propre abdication, que ce soit au profit de l’art, de la science ou de la politique…
…Paradoxalement, cet auto reniement s’accompagne d’une « scientifisation» exemplaire de la philosophie. Jamais dans le passé il n’y eu autant de personnes que maintenant à exercer la philosophie sur un plan professionnel dans les universités du monde entier et jamais n’a-t-on vu une pareille différenciation entre les disciplines à l’intérieur de la philosophie…
…Suite à l’histoire bouillonnante du XXème siècle, la philosophie tente de faire face aux bouleversements de l’époque. Les certitudes du rationalisme et du positivisme sont remises en question. De nouveaux thèmes sont au centre de l’interrogation philosophique : la vie, le langage et la société.
… Jean Paul Sartre (1905-1980) est le fondateur d’une conception du monde existentialiste qui pose l’existence comme précédant l’Essence. L’ « égo » n’est pas dans la conscience. Il est en dehors, dans le monde où il trouve son lieu d’existence. Conformément à sa constitution ontologique, l’homme n’a pas vocation à être quelque chose de précis, il lui faut lui-même se donner une nature en agissant dans le monde…
Les peintres, les sculpteurs, les écrivains se détachent dès la fin du XIXème siècle de la réalité des choses… Le XXème siècle a alors été perçu comme une folle accélération et de dissolution d’une perspective unifiée sur le monde. Ces deux tendances, qui ne laissent pas la philosophie intacte, s’expriment surtout dans le cubisme. La perspective y est brisée en une infinité de perspectives différentes qui restent juxtaposées et qui se fondent en une seule image d’ensemble… acceptation de la dynamisation du progrès scientifique (positivisme) en refusant la pluralité des modes de connaissance, ou considération du progrès comme une fatalité malheureuse…
Les grands thèmes des peintres, des sculpteurs, des écrivains, tournent alors autour des questions intérieures de l’être. A la frontière entre mort et hasard, culpabilité et lutte, l’homme s’aperçoit qu’il lui est impossible de s’en remettre à quoi que ce soit dans le monde. Il subsiste toujours un fossé ultime entre le sujet et l’objet. Il est trop facile de se masquer les yeux face à l’inéluctable de l’échec et de se consoler à coup de phantasmes religieux ou idéologiques… Dès lors, c’est surtout dans une attitude d’attention aimante en faveur des autres, dans une communication existentielle, que l’homme peut saisir l’occasion de se trouver lui-même. (Jean Paul Sartre, Simone de Beauvoir, l’existentialisme)...
Faute de pouvoir répondre à la question fondamentale, après 5 000 ans d’existence, la philosophie se saborde au milieu des théories contradictoires qui la font tourner en rond. L’art est alors le support de cette nouvelle recherche fondamentale sur l’origine et la raison d’être de « soi »… Les artistes comme Picasso, Popova, Hans Harp, Dali, Chagall, Munch, Van Gogh, Giacometti, Magritte, Moore et tous les grands noms de l’art moderne en général, ont été les découvreurs de cette nouvelle intercommunication entre l’homme et son essence, perpétuée de nos jours par les artistes contemporains.
Devant une œuvre contemporaine, l’homme se retrouve plongé, s’il en a les clés, au plus profond de son ressenti. Les questions se bousculent, les réponses aussi… pas toutes, mais sensuellement exprimées, personnellement absorbées, honnêtement pressenties…Le monde extérieur n’exerce plus d’influence, l'« être ou ne pas être », peut alors prendre son véritable sens, sans mots savants, sans fioriture, juste entre l’ « existant » et soi…
Marc Lesnay
(Bib. «L’histoire De La philosophie…» édition place des Victoires (Paris)
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Animal mammifère (homo sapiens sapiens) bipède et bimane, moral et social, doué de raison et capable d’un langage articulé (Flammarion)
Mode d’expression universel (le langage de l'âme) (Marc Lesnay) __
L'Œeuvre((/images/0 expo paradis/IMG_1799.jpg|
« Le Paradis Terrestre » de Marc Lesnay
Le paradis, symbolisé, est dressé sur le haut d'une colonne d'un blanc immaculé de pureté qui elle-même, dans sa deuxième phase de 2011, non programmée au départ, représente la lumière terrestre et en bleu le disque de la planète Terre reliée au Paradis de l'Origine par l'eau qui coule (ligne bleue verticale). Dans cette ambiance de calme et de paix, le cheval, à la source de la rivière de vie, broute une herbe fraiche dans une sécurité tranquille qui le rassure et le détend. C'était " la Bonne Heure" (bonheur) des origines que nous avons perdue en "croquant la pomme" de l'arbre de la vie matérialiste, qui ici est le sommet de l'œuvre et le summum de l'entendement de notre "condition humaine" !!!
Après avoir "croqué la pomme", durant sa longue décadence, l’homme* va s’ingénier à inventer les techniques participes de sa survie. La mise en sommeil de la conscience va provoquer de grandes mutations comportementales et, notamment, l’avènement de la spiritualité, relent bien infime de cette Connaissance du début des Temps.
En opposition aux « créationnistes », (religions monothéistes), cette théorie de l’évolution des espèces (constatée par la science moderne), nous permet de faire le bilan, aujourd’hui, de la création, par le soi-disant talent et génie humain, d’un lourd patrimoine, empilé en sédiments par des multitudes de générations et de civilisations. Cela au service d’une élévation spirituelle archaïque (croyances, religions) ou d’une exigence profane, qu’on pourrait appeler "la beauté". Cette "beauté" rendant spirituelles même les choses, pourrait se définir par le mot art*, alors que n'ayant rien à voir avec l'ART.
Voilà ce dont il s’agit ici et non pas d'art ni de philosophie !!!
Mon travail et ma démarche s’inscrivent dans le cadre de cette histoire complice entre la beauté et La Vie, entre le matériel et le spirituel, nécessaire au prolongement et à la destinée humaine, par le retour aux Connaissances du début des Temps, toujours véhiculées comme une mémoire indélébile, au sein de ce grand Langage Universel de l'Âme .
L’art, essentiel à la vie des hommes, doit revenir au centre de la vie des hommes, dans le champ et dans les espaces de vie quotidiens des communautés pour réapparaitre comme L'ART, symbolisé aussi par la réussite du Grand Œuvre alchimique, la redécouverte de l'Arche de la Vie.
Capter le regard, accaparer les intelligences et les sensibilités, les faire partir au delà du simple soleil vers la Lumière de la Conscience Divine, voilà ma sollicitude.
Tendre l’Art aux Autres comme on tend la main, pour le meilleur et pour la Vie…
L'œuvre " Le Paradis Terrestre " fait partie de ce "roman" de ma prise de conscience qui se traduit 48 ans après par le don de mes découvertes à tous ceux qui voudront bien les recevoir et les assimiler. Elle est une des cellules fondamentale de mon exposition globale de peintures, sculptures et mises en art : " Le Péché Originel"
Le Paradis
Le Paradis, symbolisé, est dressé sur le haut d'une colonne d'un blanc immaculé de pureté qui elle-même, dans sa deuxième phase de 2011, non programmée au départ, représente la lumière terrestre et en bleu le disque de la planète Terre reliée au Paradis de l'Origine par l'eau qui coule (ligne bleue verticale). Dans cette ambiance de calme et de paix, le cheval, à la source de la rivière de vie, broute une herbe fraiche dans une sécurité tranquille qui le rassure et le détend. C'était " la Bonne Heure" (bonheur) des origines que nous avons perdue en "croquant la pomme" de l'arbre de la vie matérialiste, qui ici est le sommet de l'œuvre et le summum de l'entendement de notre "condition humaine" !!!
Au sommet de l'œuvre, la pomme est l'appât "matériel" qui attire peu à peu l'homme premier, l'homme divin du début des temps, vers la seule jouissance terrestre, oubliant alors la Connaissance, sa Raison d'Être Cosmique. Les seuls cinq sens en éveil, dans l'obscurité de son cerveau, se forment les seules images virtuelles de la vie terrestre. Le corps humain a des nécessités précises pour conserver son potentiel dans l'harmonie et la force physique. De là, l'âme, qui en est la locataire pourra alors y faire son nid douillet et y mûrir en toute quiétude dans un bonheur radieux. Mais si le corps touche à la seule jouissance du concret, les nourritures pesantes et malsaines, la jalousie et la vie au profit de la seule chair, "le fruit défendu", alors le système s'échauffe, les fatigues, les maladies apparaissent et la machine humaine s'enraille. "Croquer la pomme", c'est à dire vivre pour le seul profit et la prise de pouvoir, a entraîné les humains vers une perte des connaissances originelles.
Où en sommes-nous aujourd'hui ?
Le paradis était sur Terre. Il est lié à la Terre. Il suffirait de ne plus "manger la pomme" pour retrouver, en un temps très court, par une reprise de la Conscience du début des temps, ce bonheur perdu. ("bonne heure", celle du commencement) Préparés pour résister aux climats naturels, sans besoins spécifiques, tout s'offrant en abondance à leur portée, dans un climat où les vêtements n'étaient pas nécessaires, les hommes étaient conscients de leur condition originelle. A force de se multiplier et de se regrouper, quelques-uns d'entre eux eurent l'idée de confier à quelques-autres les tâches quotidiennes afin de résoudre les demandes du plus grand nombre.
Alors la "gouvernance" globale, effectuée en égalité par chacun, par ces nouvelles pratiques de délégation des "pouvoir", commença à se fissurer. Les conflits apparurent rapidement. Les uns voulaient plus de reconnaissance, de pouvoir sur d'autres qui par paresse préféraient déléguer qu'agir. C'est à ce moment exact que le concept de gouvernement représentatif commença, entrainant la main mise du plus fort sur le faible. L'engrenage, dans un cycle intenable aujourd'hui, vue la multiplicité des êtres humains sur notre planète, emporta toutes les civilisations perdues dans des rites ancestraux adaptés à la volonté des plus puissants.
Revenir au Paradis, est la nouvelle "croisade" des humains "éveillés". Les sciences du matériel, ont détourné les consciences du Soi.
Cette œuvre est donc en fait une fenêtre vers ce renouveau cosmique de l'âme qui doit permettre de réinsérer l'humain dans son paradis originel sur Terre.
Tridimensionnalité et notion d'espace
L'œuvre, en couleurs, de face, suspendue sur le devant du support de chêne brut, dans la lignée de Lucio Fontana, précurseur et chef de file du concept spatial , est calquée sur une approche d'Inès Blumencweg, contemporaine et actrice de ce mouvement américano-italien. De même origine (Buenos Aires), que l’illustre Fontana, avec qui elle expose en 1969 à Rome, en compagnie de Federico Brook, Pedro Coronel de Mexico, Carlos Revilla et, entre autres, son mari, Mario Pucciarelli, INÈS BLUMENCWEIG est née dans la capitale argentine en 1930. Elle s’installe en Europe dès 1961, à Rome où elle travaille jusqu’en 1980, puis à Paris jusqu’en 1985. Italo-argentine, elle reste l’épouse de Mario Pucciarelli jusqu’en 1980, dont elle se sépare avant son arrivée à Paris en 1981. Elle expose régulièrement en Amérique Latine et aux Etats-Unis entre 1952 et 1960, puis également à Rome dès 1961, et enfin à Paris entre 1981 et 1984, où elle décède en 1985.
L'œuvre d’Inès Blumencweig utilise la tridimensionnalité et l’espace comme matière première, d'où mon choix d'y insérer un de ses travaux reconstitués, comme représentation de l'espace-Univers, qui lie ainsi entre eux les différents éléments du " Paradis Terrestre". Cela insuffle, à mon message supporté par cette œuvre, le souffle divin multidimensionnel qui autrement ne pourrait pas être.
Le Chêne
Derrière cet "infini" représenté par ce "morceau" de langage "classique" de l'histoire de l'art des hommes, le "tronc" représente la force inaltérable, patinée par le temps. Il relie l'esprit de liberté symbolisé par la pomme intouchable et le sol paradisiaque où convergent et communient en harmonie les animaux et les hommes. Cette force de Vie inaltérable est symbolisée par l'eau qui court... permettant là l'éternité du vivant, représentée par le cheval.
La technique d'ampliation des "déchirures" naturelles du bois, m'a permis de jouer avec les ombres et les lumières sans "polluer" la matière de pigments synthétiques, laissant à la nature le soin d'en apporter les nuances selon les angles d'éclairage et de vision, au cours de la journée. J'en ai renforcé la "profondeur", exagéré les courbes harmonieuses et imposé "ma domination" spirituelle à la matière en la stabilisant. Nous fûmes complices : le bois m'offrant ses entrailles dont je devais modeler les contours pour en faire ressortir la grâce et le message intérieur de la matière noble.
Le Cheval
Le cheval au près ou buvant l'eau de la source issue du cœur même du "tronc paradisiaque" est symbole de paix.
En effet plutôt proie que prédateur, le cheval n'a que sa course comme défense. Fuir le danger, être sur le qui-vive, toujours pour survivre. Lorsque un cheval, dressé par un maitre doux et rassurant lui permet l'immense faveur de se laisser approcher sans se bouger alors qu'il est en position de prendre le triple galop ou lorsqu'il est enfermé ou allongé au repos, cela montre la confiance totale obtenue avec patience par le "dresseur". C'est leur plus beau cadeau mutuel...
Pour cette raison, ici même, le cheval paisible, broutant l'herbe douce d'un terrain noble dans un climat clément, bercé par la chanson de la source qui s'écoule doucement, quelque peu pétillante de la vie qu'elle communique partout, pour cette raison ce petit cheval est le symbole du calme et de la Paix. Douceur de vivre, dans la certitude d'aucun danger, aucune raison de se méfier, puisque au paradis, tout est amour ! En parfaite harmonie avec toute la Conscience de l'Univers, "Tout" peut donc prendre sa place au sein des galaxies éternelles, et l'âme prendre ainsi son essor. J'aurais pu en rester là, avec cette mise en art de ces trois œuvres reposant sur le verre.
Mais l'histoire des hommes aurait alors été tronquée. Depuis des lustres la décadence des humains est telle que de là-haut, tout là-haut du Paradis, ils sont "arrivés" sur la Terre, luttant contre les éléments qu'ils ont voulu dominer à leur manière et qui se sont retournés contre eux.
L'eau de La Source de La Vie et la connexion avec la Planète Terre-Père- Mère
L'eau originelle est toujours là. Elle descend, ligne bleue symbolique, le long de cette colonne blanche de ciel qui relie encore le Paradis et la planète des Hommes devenus pour un temps des ignorants, des hommes devenus "bêtes".
Elle rejoint le cercle bleu, notre planète, et cette union symbolise le détachement de notre humanité égarée qui pourtant, puisque reliée à ses origines par l'eau de la Vie, et malgré la distance supposée, a encore toute ses chances de retrouver le ventre sacré de sa "Marie", mère du temps des Humains.
Ils ont pour un instant encore, perdu leur maman !!!
Mais quelle maman laisserait dans l'errance plus longtemps ses enfants ?
"A mes enfants"
Marc Lesnay
MARC LESNAY Photographe, cinéaste-conférencier, réalise entre 1972 et 1979 plusieurs très longs séjours au MEXIQUE et aux USA et présente en France, Suisse et Luxembourg plus de 800 conférences, avec films et spectacles musicaux dans les universités, théâtres et palais des congrès, ainsi qu’une exposition itinérante, toujours sur l’Amérique latine et sa relation avec la société moderne de notre continent. En 1979, installation au Mexique où il réalise les activités suivantes : 1979, directeur de produits spéciaux de la maison de disque EMI CAPITOL 1980, conférence sur le monde indigène au quotidien à l’université d'OAXACA. Ecriture de textes divers et reportages. Projet de réalisation de 54 programmes de radio pour RADIO EDUCACION MEXICO et directeur de production de la chaîne télévisée CANAL 9 de Villahermosa, Tabasco. 1981, écriture d’un script pour la ville de Mexico et réalisation de multiples programmes de T.V. pour différentes entreprises privées et publiques de Mexico (reportages sportifs, feuilletons, programmes agricoles, culturels, etc.). Reportages photos pour magazines et journaux nationaux, etc. Conférence pour le CENTRO DE ESTUDIOS DE CULTURA MAYA à Mexico pour le maestro Dimitrio Sodi. Production du mémoire de la MUESTRA NACIONAL DE TEATRO VIVIENTE pour l’université d'OAXACA. 1982, réalisation des programmes vidéo, séminaires et congrès de L’INSTITUT NATIONAL DE FORMATION PROFESSIONNELLE DE L’INDUSTRIE DU BATIMENT DE MEXICO. Photographe du magazine PIE DE PAGINA, directeur artistique du groupe musical mexico-californien CJ’S à SAN FRANCISCO et production d’un des premiers vidéo-clips musicaux pour le Mexique, ainsi que le vinyle correspondant. 1983, directeur technique associé de la troupe de théâtre pour enfants dédiée à CRI-CRI, le Grillon Chanteur de GABILONDO SOLLER, le fameux artiste mexicain inspirateur du Jimminy Cricket de WALT DISNEY. Conférences sur le monde indigène mexicain en écoles de Mexico. 1985 / 1988 Directeur général de VIDEOPRODUCCIONES SA. . Création de la FONDATION CULTURELLE MARC LEPINAY A.C. et production de programmes vidéos, reportages photos et conférences dans tout le Mexique. 1983/1984, création VIDEOPRODUCCIONES SA, à Mexico, et réalisation de dizaines de programmes vidéo dont la conception, production et réalisation de la série télévisée sur la vie des enfants de la campagne mexicaine : BAJO EL ARCO IRIS pour la chaîne nationale mexicaine CANAL 13 avec 42 programmes diffusés deux fois par semaine dans tout le Mexique et les Etats du Sud des USA... Participation en conférences à l’université d'OAXACA. Reportage pour le magazine féminin CLAUDIA 1988, transfert des bureaux vers la ville de CUERNAVACA, état de Morelos et début des reportages de communication touristique. Trois voyages-reportages en ISRAEL et l’ITALIE, dont le deuxième qui s’effectue pour le tournage de la vidéo du centenaire de DON BOSCO, se réalise avec 560 participants. 1989, début du programme VIDEO MORELOS et lancement du programme de développement touristique international de cet Etat avec l’aide des autorités et des membres de l’industrie touristique. Journaliste, membre de l’association CORRESPONSALES Y DIRECTORES DE PRENSA DE LA REPUBLICA MEXICANA. 1990, continuation du tournage du film vidéo sur Morelos, avec participation dans les grands salons touristiques nationaux et européens TOP RESA DEAUVILLE. 1991, continuation du programme vidéo et de développement touristique international sur Morelos et participation dans les plus grands salons européens du tourisme, FITUR MADRID, SMTV PARIS et ITB BERLIN comme représentant officiel du ministère du Tourisme de l’Etat de Morelos. Suite à la chute du Mur proposition de la part d’opérateurs à Berlin et retour en Europe. 1992, création de l’entreprise allemande tour opérateur spécialiste du Mexique et de l’Amérique Latine TRANSLATINA Gmbh á BERLIN ouverture de TRANSLATINA MEXICO comme futur associé de cette entreprise en Allemagne et directeur général Mexico. Création du programme national MEXICO APRES CINQ CENTS ANS et des programmes touristiques pour l’Europe. Nombreuses activités de préparation de l’association avec Translatina Gmbh. 1993, Installation en septembre comme directeur général associé de TRANSLATINA à BERLIN et fin du programme de promotion le 27 décembre. 1994, 1er janvier, début des hostilités révolutionnaires et des activités de guérilla dans l’Etat du CHIAPAS mexicain. Fin de l’intérêt des touristes allemands pour le MEXIQUE. Mars, fermeture définitive de TRANSLATINA BERLIN. Sauvetage de TRANSLATINA MEXICO avec le tour opérateur JET SET de BERLIN. Octobre à décembre, études de la langue allemande à l’école VHS MARZAHN BERLIN. 1995, Etudes de la langue allemande et préparation du retour vers la France. Etudes en France du contexte politico-social de la République. Contacts avec trois candidats à la présidence de la République. Elaboration d’un programme de participation à la lutte contre l'exclusion et de formation d'une nouvelle entreprise. Début de l'élaboration de son premier roman " Le Réveil de l'iguane ". Membre du comité exécutif national de l’association de presse CORRESPONSALES Y DIRECTORES DE PRENSA DE LA REPUBLICA MEXICANA, AC. 1996, Retour en France, fondation de Terroir Diffusion, avec un programme sur Internet. Création de l’exposition-animation pour Galeries marchandes sur le Mexique. 1997, Financement anticipé par 4 Centres commerciaux de l’Exposition mexicaine. Juillet, premières expos à Chambray II (37), puis Le Havre, Rouen et Douai. 1998 Première animation de Foire sur le Mexique à Cholet et continuation des Expositions sur Centres commerciaux dans les Galeries marchandes. 1999 Création de l’animation exclusive mexicaine sur Les Hommes volants aztèques à Limoges avec exposition sur la campagne indigène mexicaine, spectacles musicaux et Les Indiens volants en extérieur. Expositions mexicaines en Galeries marchandes. Composition des premières chansons du spectacle Théâtre musical «Manaïma» 2000 Continuation de la présentation des Hommes volants en foires et expositions en Galeries. Enregistrement du CD «Mémoires d’Amérique Latine» et du CD Théâtre musical «Manaïma». 2001 Tournée avec Les Hommes volants et expositions mexicaines en Galeries marchandes 2002 Tournée d’automne avec Les Hommes volants à Montluçon et expositions mexicaines en Galeries marchandes. 2003 Foire de Bourges et expositions mexicaines en Galeries. 2004 Préparation des expositions et création d’art moderne 2005 Réalisations et présentations de la première exposition dans la série «Ambiances Artistiques d’intérieur.» 2006 Toujours préparation des expositions et création d’art moderne; Foire de Saint Brieuc en Septembre avec les VOLADORES. 2007 Préparation des expositions et création d'art contemporain. Foire de Challans avec les Voladores 2008 Préparation des expositions et création d'art contemporain. Création de la Fondation association loi 1901 : www.cledart.com dénommée: Fondation Culturelle Marc Lesnay A.C. Présentation des Voladores à la Foire de Périgueux puis dans l'Ile de La Réunion. 2009Préparation du projet "ELEMPLATES" et de la réalisation de l'atelier d'art et du village d'artiste à Maillé, 37800. Présentation des Voladores à Maillé puis à La Foire de la Lavande à Digne les Bains puis Achères: expo-animation mexicaine. 2010. dépôt français des brevets "ELEM" et de la marque commerciale "ELEMPLATES" Expo Mexicaine 5 semaines à Nouâtre 2011 Dépôt des Brevets internationaux et inscription officielle des deux demandes nationale et internationale aux Registre Officiels des Inventions. Création et Exposition du "Péché Originel" à Richelieu, galerie de TAP Assurances 2012 Exposition du "Péché Originel" à Richelieu, galerie de TAP Assurances et développement du projet ELEMPLATES, ELEM et atelier d'art et village d'artiste à Maillé.
Reporter-photographe, producteur-réalisateur de films et vidéos de reportage, spécialiste du Mexique, conférencier, opérateur touristique. Spécialiste en communication culturelle, metteur en scène de spectacles mexicains, auteur-compositeur-interprète… Producteur et directeur artistique. Metteur en art. Artiste contemporain - Inventeur.
INÈS BLUMENCWEIG artiste italo-argentine, née le 16 /6/ 1930 à Buenos Aires
De nombreux critiques d’art, en plus de ceux déjà mentionnés, se sont intéressés à sa carrière en Argentine et en Italie ainsi qu’au Japon et pays d’Amérique Latine et ont publié de nombreux articles sur sa démarche dans différentes revues et journaux spécialisés. Son œuvre peut se voir à Rome dans les galeries « La Medusa » et « Il Luogo »…ainsi qu’au Musée d’Art moderne de la ville de Buenos Aires, le Modern Muséum de Miami, USA, dans les musées de province d’Argentine et d’Italie. On trouve ses œuvres dans de nombreuses collections privées en Argentine, Uruguay, Russie, USA notamment à New York et Chicago, en Suisse à Genève, à Mougins en France, en Italie et Allemagne.
OBSERVATIONS Notes
lundi 7 avril 2008
Par Marc Lesnay le lundi 7 avril 2008, 02:19
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